Accueil > Actualités Enfants Justice > Discrédit scientifique sans appel contre l’homoparentalité : 1 quart (23%) des enfants abusés sexuellement !

Discrédit scientifique sans appel contre l’homoparentalité : 1 quart (23%) des enfants abusés sexuellement !


« Le lobby homoparental s’appuie sur des études qui, dans leur quasi-totalité, ne sont que pseudo-scientifiques. L’intoxication est suffisamment bien faite pour que tout le monde soit convaincu que ces études prouvent que les enfants élevés par les parents homosexuels vont bien. Pourtant, il suffit de se donner la peine de vérifier la nature des travaux cités pour comprendre leurs faiblesses méthodologiques et leurs biais de recrutement des groupes étudiés [1]». L’auteur de cette charge sans concessions ne saurait laisser nos responsables politiques indifférents au moment où ils s’apprêtent à ouvrir l’adoption, voire l’assistance médicale à la procréation, aux personnes homosexuelles. Maurice Berger est en effet professeur de psychopathologie de l’enfant, chef de service de psychiatrie de l’enfant au CHU de Saint-Etienne et membre de plusieurs commissions interministérielles concernant la protection de l’enfance.

Pour le professeur Berger, « le lobby homoparental utilise une méthode simple, le bluff », tant il « est difficile d’imaginer moins d’objectivité » dans les publications existantes. « No difference ». Telle est la sempiternelle conclusion de l’ensemble des travaux comparant l’épanouissement psychique des enfants issus de couples homosexuels et hétérosexuels. Or, la quasi-totalité ne relève pas de méthodes scientifiques rigoureuses. Aspect clairement militant se fondant sur la parole des « parents » – la plupart du temps volontaires et non tirés au sort, recrutés par les lobbies homosexuels –, absence de groupe de comparaison, défaut d’appareillage entre le groupe étudié et le groupe témoin quand il existe, comparaison avec des enfants issus de couples hétérosexuels mais élevés dans des familles recomposées ou monoparentales, effectifs insuffisants,… Bref, des travaux qui collectionnent des défauts méthodologiques si grossiers qu’ils auraient dû être recalés par n’importe quel comité de lecture digne de ce nom.

Mais il n’y a pas que le caractère erroné des travaux brandis par les lobbies à verser dans le dossier à charge contre l’homoparentalité. Une étude parue au début de l’été remet radicalement en cause la ligne officielle qui prévaut jusqu’ici accréditant la thèse selon laquelle il n’y aurait aucune différence en terme de santé mentale entre les enfants élevés par des couples homosexuels et ceux qui le sont par des parents hétérosexuels[2].

Les recherches du professeur Mark Regnerus de l’Université du Texas tordent le cou à ce discours convenu en s’appuyant sur l’examen de 3000 enfants devenus adultes éduqués au sein de 8 structures familiales différentes à partir de 40 critères sociaux et émotionnels[3]. Les résultats les plus positifs concernent les adultes provenant de familles « traditionnelles » qui se disent plus heureux, sont en meilleure santé mentale et physique et consomment moins de drogues que les autres.

A l’inverse, les enfants élevés par des lesbiennes sont les plus mal lotis avec une augmentation statistique inquiétante des dépressions dans leur groupe. Les adultes  interrogés disent également avoir été plus souvent victimes d’abus sexuels (23% contre 2% chez les enfants issus de couples hétérosexuels mariés) et souffrent plus de précarité économique (69% dépendent de prestations sociales pour 17% de ceux élevés par leurs père et mère)[4].

Pourquoi une telle divergence dans les résultats de ces études de psychologie comportementale ? L’explication tient à la qualité de la démarche de Regnerus qui jette indirectement une lumière crue sur les erreurs méthodologiques des précédentes études. Le professeur texan a pris soin d’effectuer son enquête sur une large cohorte d’adultes contrairement aux anciennes études portant sur des échantillons ridiculement faibles[5]. Par ailleurs, Regnerus s’appuie sur les réponses des enfants eux-mêmes devenus adultes et non sur celles données par les « parents ».

Après analyse de l’ensemble des réponses, la conclusion du professeur Mark Regnerus est imparable : le modèle familial reposant sur l’ « union conjugale stable du père et de la mère biologique » – lequel ressemble de plus en plus à une « espèce menacée » (« like an endangered species ») ajoute-t-il avec un brin de malice –, demeure « l’environnement le plus sécurisé pour le développement de l’enfant »[6]. Toute autre combinaison, selon l’universitaire américain, porte préjudice à moyen et long terme à l’équilibre émotionnel de l’enfant, quelles que soient par ailleurs les qualités humaines et éducatives des homosexuels que personne ne conteste. S’engager dans cette voie reviendrait en effet à heurter de front le principe reconnu par la Convention internationale de l’ONU sur les droits de l’enfant selon lequel l’intérêt supérieur de celui-ci, partie la plus faible et sans défense, doit toujours passer avant toute autre considération.

Cette publication – qui confirme le bien-fondé de la structure éthique et anthropologique de l’alliance conjugale entre un homme et une femme pour assurer le plein développement du petit d’homme –  ne saurait être plus longtemps passée sous silence alors que le gouvernement s’obstine à vouloir ouvrir le mariage et l’adoption aux couples homosexuels. Quant aux autres travaux jusqu’ici mis en avant, le professeur Berger enfonce le clou : « La vraie audace de la part du gouvernement n’est pas de soutenir un tel projet de loi, non, ce serait de ne pas avoir peur d’aller vérifier ce qu’il en est réellement, de donner une place au savoir face à l’intimidation et aux études biaisées, et de décider dans un climat plus apaisé. Pourquoi le lobby homoparental ne demande-t-il pas que cette démarche soit entreprise, s’il n’y a rien à cacher ? ». La tenue d’un débat digne de ce nom ne permettrait-elle pas de faire la lumière sur un projet de loi où l’improvisation le dispute à la précipitation ? Dans cette affaire, qui se préoccupe du bien des enfants ? » (source : libertepolitique.com)

[1] Maurice Berger, « Homoparentalité : intimidation et études douteuses », Débats et opinions, Le Figaro, 3 octobre 2012.

[2] Pierre-Olivier Arduin, « L’homoparentalité discréditée », La Nef, septembre 2012.

[3] Mark Regnerus, “How different are the adult children of parents who have same-sex relationships? Findings from the New Family Structures Study”, Social Science Research 41 (2012), 752-770.

[4] Wendy Wright et Lisa Correnti, « L’homoparentalité n’est pas l’égale de la parenté fondée sur le mariage hétérosexuel », www.c-fam.org, 15 juin 2012.

[5] Xavier Lacroix, « Homoparentalité », Lexique des termes ambigus et controversés sur la famille, la vie et les questions éthiques, Conseil pontifical pour la famille, Téqui, p. 595-609.

[6] « The biologically-intact, stable nuclear family (biological mother and father and their marital stability) remains the most secure environment for child development » in Mark Regnerus, “Response to Paul Amato, David Eggebeen and Cynthia Osborne”, Social Science Research 41 (2012) 786-787.


* L’arrogance incroyable d’une association qui avoue manipuler 65 millions de français pour leur imposer l’homoparentalité ! https://enfantsjustice.wordpress.com/2012/10/06/une-association-lgbt-reconnait-manipuler-lopinion-pour-imposer-lhomoparentalite/


pedophiles1 leader LGBT condamné pour pédophilie aggravée !

Il s’agissait d’un militant pour la cause du « mariage » entre personnes du même sexe et du droit à l’adoption pour ces couples, (…)

Avant son arrestation, (…) il était le directeur de l’association LGBT Youth Scotland. (…) En 2009 [lui] et ses complices ont été arrêtés puis condamnés pour faits de pédophilie aggravée, entre autres sur le nourrisson (…) une vidéo où on le voyait violer le petit garçon en plusieurs occasions, pendant plusieurs années, le premier viol s’étant produit alors que le garçon n’était encore qu’un bébé de 3 mois… (…)



* Mariagegate : Pierre Bergé décide-t-il pour la France et les français ?megafono

https://enfantsjustice.wordpress.com/2013/02/09/mariagegate-pierre-berge-decide-t-il-pour-la-france-et-les-francais/


* Les français descendent dans la rue pour dénoncer la trahison

https://enfantsjustice.wordpress.com/2012/11/10/homoparentalite-imposee-les-francais-descendent-dans-la-rue-pour-denoncer-la-trahison


* Les pédophiles réclament les mêmes droits que les homosexuels
https://enfantsjustice.wordpress.com/2012/11/11/les-pedophiles-reclament-les-memes-droits-que-les-homosexuels/


* L’arrogance incroyable d’une association qui avoue manipuler 65 millions de français pour leur imposer l’homoparentalité ! https://enfantsjustice.wordpress.com/2012/10/06/une-association-lgbt-reconnait-manipuler-lopinion-pour-imposer-lhomoparentalite/


* Des gays CONTRE le mariage homosexuel dénoncent le lobby gay ! https://enfantsjustice.wordpress.com/2012/10/07/plus-gay-sans-mariage-regroupe-des-homosexuelles-contre-le-mariage-homosexuel/


* L’idée du référendum est définitivement écartée
https://enfantsjustice.wordpress.com/2012/09/14/debat-sur-lhomoparentalite-les-francais-ne-seront-pas-invites/


* L’homoparentalité gravement discréditée par 1 étude scientifique : 1 enfant sur 4 (!) abusé sexuellement (23% contre 2%)
http://wp.me/p2IN2B-2s


* Dénigrer la famille, saper les fondements culturels et sociaux… Quel est le projet ?
https://enfantsjustice.wordpress.com/2012/11/17/denigrer-la-famille-saper-les-fondements-culturels-et-sociaux-quel-est-le-projet/


* Colossal : on dépasse le million de manifestants !! (du jamais vu au cours de la dernière décennie)
https://enfantsjustice.wordpress.com/2013/01/13/pour-la-famille-et-contre-le-mariage-gay-1-raz-de-maree-humain-encore-jamais-vu/


* Quel avenir pour nos enfants ?
https://enfantsjustice.wordpress.com/2012/09/18/homoparentalite-quel-avenir-pour-nos-enfants/


* CONCLUSION : Vivons-nous les derniers temps de la LOBBYCRATIE ?
https://enfantsjustice.wordpress.com/2012/12/02/vivons-nous-les-derniers-temps-de-la-lobbycratie/

Autres liens sur le sujet :


Le leader d’une association LGBT militante condamné pour pédophilie aggravée (viol d’enfant et de nourrisson)

.


Jean-Marc, maire et homosexuel : « les LGBT ne nous représentent pas : ils n’ont pas à parler en notre nom »

.


Les philosophes inquiets : le mariage gay entraînera les femmes à louer leur utérus #féminisme ( PMA , GPA)

Le Grand Rabbin de France opposé au projet

.


Un enfant de 4 ans, battu à mort par la lesbienne de sa mère « parce qu’il refuse de l’appeller Papa »

.


Grande Bretagne : Une mère se voit arracher ses 2 garçons au profit d’un couple d’homosexuels

.


Il se marie à son chien et réclame le droit à la différence. Honey, un labrador de 5 ans, a accepté la demande en mariage de Joseph Guiso

.


Les Femen de Caroline Fourest, gazent un enfant dans une poussette

.


Pédagogie : pourquoi le mariage et l’adoption homo sont ABSURDES !

.


Mariage forcé : Un retraité découvre que sa femme est un homme !

.


Les maires interdits de « liberté de conscience » : forcés à célébrer des mariages gays et lesbiens

.


La grande dégringolade : Le «mariage» gay et l’adoption en chute libre dans les sondages

.


Des homosexuels expliquent pourquoi le mariage gay est une loi homophobe

.


Les associations d’enfants adoptés contre l’homoparentalité

.


Un congé paternité accordé à un couple de femmes

.


La France banni les mots « pére », « mére », « mari » et « femme » des documents officiels.

.


  1. paulau
    14 janvier 2013 à 1212 44

    Non au mariage gay et à la reconnaissance juridique de l’ homoparentalité.

    I. Le langage

    La normalophobie.

    L’habitude a été prise, depuis une douzaine d’années, d’utiliser systématiquement les termes d’homosexualité ou d’hétérosexualité, au point que personne ne parle plus d’orientation sexuelle normale ou d’orientation sexuelle déviante. Certains sympathisants de la cause homosexuelle refusent même l’emploi du terme « normal » quand il s’applique à la sexualité. Ils ne tolèrent pas que l’on puisse ainsi porter un jugement sur les orientations sexuelles ni, par conséquent, réfléchir sur le mariage gay et l’homoparentalité.
    Il est à noter que si l’on considère que l’homosexualité est normale , alors, de ce fait , on considère que l’hétérosexualité ne peut pas l’être. Cependant dans un monde sexué, c’est l’ orientation homosexuelle qui est anormale, et c’est l’orientation hétérosexuelle qui est normale, terme que l’on peut employer sans crainte, sauf si l’on est normalophobe.

    Des mots précis.

    L’emploi d’un même terme pour désigner deux réalités différentes conduit à des confusions.
    On ne peut donner un même nom, en l’occurrence « couple » à l’union homosexuelle et à l’union hétérosexuelle. En effet l’union d’un homme et d’une femme est différente de l’union entre deux hommes ou entre deux femmes, à moins de considérer que l’homme est identique à la femme.
    L’homosexualité est une forme d’ intolérance à l’altérité sexuelle alors que l’hétérosexualité fait vivre la complémentarité sexuelle.
    L’utilisation d’un même terme, « couple » pour désigner deux réalités différentes, et même antagonistes, est anormale.
    A deux types d’unions différentes il faut donner des noms différents : « couple », comme on l’utilise depuis toujours pour les unions hétérosexuelles et, pour les unions homosexuelles, on peut préconiser le terme « paire » car cette union concerne deux personnes de sexe identique.
    Si le couple est composé de deux personnes c’est qu’il y a deux sexes différents. Le chiffre « 2 », en tant que tel, n’ouvre aucun droit. S’ agissant d’homosexuels, le sexe étant le même pour les deux personnes, cette reconnaissance juridique de la vie à deux n’offre pas plus de pertinence qu’une reconnaissance juridique de la vie à trois, quatre ou cinq.

    Toute confusion dans les termes entraîne une confusion dans la perception de ces deux réalités. Cette confusion peut amener à souhaiter un même régime juridique , en l’occurrence le mariage, pour des unions qui sont différentes.

    II. La loi et le mariage

    Avec le mariage la société reconnaît juridiquement l’importance de l’altérité sexuelle et lui rend hommage, en mariant par exemple des couples qui ne peuvent pas, ou plus, enfanter. La société sait que seule l’ union d’un homme et d’une femme permet potentiellement d’ assurer son avenir. Les hétérosexuels n’ont jamais eu besoin de réclamer un droit au mariage , car une telle possibilité est évidente depuis la nuit des temps.

    Le mariage n’a pas été créé pour permettre au législateur de remettre en cause la liberté individuelle en se préoccupant de sexualité récréative, homo ou hétéro, ni pour s’occuper d’amour. Le maire n’a d’ailleurs pas à demander aux futurs époux s’ils s’aiment ou non. Il ne leur demande pas non plus leur orientation sexuelle, cette dernière, quelle qu’elle soit, ne confère aucun droit. Le mariage est ouvert à tous. Il ne crée ni une injustice ni une discrimination envers les personnes qui sont incapables d’établir une relation complète avec le sexe opposé. Leur déviance de l’orientation sexuelle est la seule cause de leur incapacité à se marier.
    Si chaque individu peut librement se marier, est l’ égal des autres devant le mariage, l’union homosexuelle, elle, n’est pas égale à l’union hétérosexuelle. Seules des choses identiques peuvent être traitées d’une façon égale.

    Malgré le chantage à l’homophobie le législateur n’a pas à étendre le mariage à une union différente de celle pour lequel il est prévu, cela d’autant plus qu’ avec le mariage, le plus souvent, un tiers est concerné : l’enfant . Le législateur, par le mariage, propose un cadre au couple afin de l’aider à se stabiliser et protéger ainsi l’enfant né ou à naître.
    S’il est exact que des homosexuels peuvent avoir la charge d’enfants, la demande de reconnaissance juridique de l’homoparentalité comme une forme de paternité est inutile, l’enfant ayant un état civil et donc un régime juridique clair.

    III. L’enfant

    Une fraction du lobby homosexuel souhaiterait assimiler le couple avec enfant et une paire d ‘ homosexuels élevant un enfant. En effet l’apparence de ces derniers se rapproche de celle du couple normal. Les demandes d’accès au mariage et à l’adoption peuvent de ce fait apparaître parfois comme destinées à faire oublier le caractère spécifique de l’homosexualité. L’enfant deviendrait alors un moyen mis au service d’une cause qui n’est pas la sienne.
    Les maltraitances d’ enfants, quant à elles, doivent être sanctionnées si des parents sont indignes. Les enfants placés dans une famille d’adoption doivent y retrouver le père et la mère qui leur manquent. On ne doit pas utiliser le malheur de ces enfants afin de démontrer qu’ils seraient mieux dans une famille de deux hommes ou deux femmes que dans leur famille d’origine et les transformer ainsi en propagandiste obligés de l’homoparentalité. Quant à l’adoption par un célibataire elle devrait prioritairement permettre que des enfants puissent être adoptés par leur oncle, leur tante, ou un autre membre célibataire de sa propre famille.
    Par ailleurs la procréation médicale assistée doit être réservée aux couples qui , par malchance , ne peuvent enfanter.
    Quant à la location d’utérus , rebaptisée  » gestation pour autrui  » afin de faire oublier l’ignominie de la chose, elle est à exclure .

    La loi n’a pas à entériner toutes les situations de fait découlant du comportement de tel ou tel individu sauf à créer une règle par individu et par situation ce qui entraînerait la disparition de la notion même de droit. L’homosexualité a toujours existé, elle est admise par notre société. Ce comportement n’a cependant pas vocation à être à l’origine d’une modification de la législation sur le mariage.

    IV Non au mariage pour les gays

    L’union hétérosexuelle peut donner la vie, pas l’union homosexuelle. La première respecte l’altérité sexuelle, la seconde l’ignore. Les principes d’égalité, de non-discrimination, ne s’opposent pas à ce que le législateur règle de façon différentes des situations différentes.

    Le mariage pour les gays est un non-sens.

  1. No trackbacks yet.

Laisser un commentaire